
À tout seigneur, tout honneur. Mise en appétit par les chefs, imperturbables, malgré la chaleur, le soleil, et les gourmands.

Pour la tendreté, caresser la viande pendant la cuisson en lui parlant tout bas, ça détend et ça déstresse la bête.

Dimanche 7 septembre, une bonne centaine d' irréductibles Gaulois Cadolivains décident de faire ripaille à l'ombre des feuillages de l'arboretum. En cherchant bien, on devrait apercevoir le barde, ficelé et bâillonné, pour éviter la chanson qui tue " Sous le Rocher de Cadolive… tralala lala… etc."

Vu la taille de la citerne, on a plus de chance de mourir noyé que de soif aujourd'hui.

Les "petites mains " qui bossent discrétes, sans qui rien ne serait possible
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